Philon de Gadara

Cet article est une ébauche concernant un mathématicien grec et la Grèce antique.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Philon.

Philon de Gadara
Biographie
Naissance
GadaraVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Date inconnueVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Période d'activité
IIe siècleVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Philon de Gadara est un mathématicien, dont on ignore tout de la biographie, si ce n’est qu’il eut Sporos de Nicée pour disciple.

Eutocius affirme que Philon de Gadara (Apogadarôn)[1], avait à l'exemple d'Apollonios de Perga enchéri sur le géomètre de Syracuse. L'un et l'autre, suivant le récit d'Eutocius, avaient poussé leurs approximations à de grands nombres.

Sporos de Nicée, qui reproche à Archimède de n’avoir pas trouvé exactement à quel segment de droite est égale la circonférence du cercle, et cela d’après un passage du Rucher, où il dit que son maître, à savoir Philon de Gadara, avait poussé l’investigation jusqu’à des nombres plus exacts que n’étaient ceux qu’avait indiqués Archimède, j’entends 1/7 et 10/71 ; tous ces critiques, l’un après l’autre, semblent avoir ignoré le propos d’Archimède, et ils opèrent avec des multiplications et des divisions de myriades, qu’il n’est pas facile de suivre, à moins qu’on n’ait passé par l’école du Livre de calcul de Magnos…

Philon Gaditanus, mentionné par Juan Eusebio Nieremberg dans les Stromata scripturae, de 1642. Stobée cite un passage de Moderatus Gaditanus, Pythagoricien[Qui ?], lequel, parlant des nombres de Pythagore, dit : Des nombres sont, pour ainsi dire, un assemblage de monades, une progression de la multitude, qui part de la monade, & y trouve sa derniere raison, en remontant à sa source autem numerus, ut ita dicam, monadum congeries, vel progressus multitudinis a monade incipiens, et regressio in eamdem desinens[2].

Notes et références

  1. Nommé Gaditanos par la plupart de ceux qui l'ont connu ; la ville de Gadara était une ville d'Asie, peut-être Gwadar. On ignore le temps où il vivait.
  2. Stobeus Eclog. Physic. lib. 1, c. 2, p. 3.

Sources

  • Dutens, Œuvres, Tome premier, Recherches sur l'origine des découvertes attribuées aux modernes, 1746.
  • Eusèbe, Commentaire sur Archimède.
  • Stobée Eclog. Physic. lib. 1, c. 2, p. 3.
  • Jean Eusèbe de Nieremberg dans les Stromata scripturae, 1642.
v · m
Mathématiques de la Grèce antique
Mathématiciens
Frise chronologique des mathématiciens
  • Frise des mathématiciens de la Grèce antique
Traités
  • Almageste
  • Palimpseste
  • Arithmétiques
  • Les Coniques
  • Éléments
  • sur les grandeurs et les distances du Soleil et de la Lune (Aristarque)
  • Des grandeurs et des distances du Soleil et de la Lune (Hipparque)
  • La Sphère en mouvement
  • L'Arénaire
Problèmes
Centres
  • icône décorative Portail des mathématiques
  • icône décorative Portail de la Grèce antique