Philip Parker King

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Philip Parker King

Fonctions

Membre du Conseil législatif de Nouvelle-Galles du Sud Counties of Gloucester, Macquarie, and Stanley (en)
1er septembre 1851 - 26 février 1856
Membre du Conseil législatif de Nouvelle-Galles du Sud
27 mai 1850 - 30 juin 1851
Membre du Conseil législatif de Nouvelle-Galles du Sud
12 février - 1er octobre 1839

Biographie

Naissance	13 décembre 1791 Île Norfolk
Décès	26 février 1856 (à 64 ans) North Sydney (en)
Nom dans la langue maternelle	Phillip Parker King
Nationalité	britannique
Activités	Officier de marine, hydrographe, explorateur, collectionneur de plantes, ornithologue, homme politique
Père	Philip Gidley King
Mère	Anna Josepha Coombes (d)
Enfant	Philip Gidley King (en)
Parentèle	Elizabeth King (d) (belle-fille)

Autres informations

Membre de	Royal Society
Arme	Royal Navy (à partir de 1807)
Grade militaire	Rear admiral

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William Phillip Parker King, né le 13 décembre 1791 sur l'île de Norfolk et mort le 26 février 1856 à Sydney, est un navigateur, hydrographe et explorateur britannique.

Un des premiers explorateur des côtes australiennes, il visite également la Patagonie et la Terre de Feu^[1].

Biographie

Fils de Philip Gidley King, il fait ses études en Angleterre puis entre dans la Royal Navy en 1807. Lieutenant (1814), il est chargé de compléter les relevés côtiers de Matthew Flinders et effectue ainsi quatre voyages en Australie de 1817 à 1822 avec Allan Cunningham. Commandant (1822), il publie la première étude de climatologie et d'hydrographie sur l'Australie On the maritime geography of Australia.

De 1826 à 1830, avec Robert FitzRoy, il effectue les relevés topographiques des côtes entre l'Argentine et le Chili, du détroit de Torrès et du littoral américain du Rio de la Plata à la Terre de Feu. Il donne son nom à Port Essington et collecte aussi de nombreux insectes australiens.

Il s'installe ensuite à Sydney où il étudie la pression, la température et l'humidité de l'air. Il est promu amiral en 1848.

Jules Verne le mentionne dans ses romans Vingt Mille Lieues sous les mers (partie 1, chapitre XX), Les Enfants du capitaine Grant (partie 2, chapitre IV) et En Magellanie (chapitre III)^[2].

Taxons et espèces décrits en son honneur

• genre Kingia, plante endémique d'Australie-Occidentale ;
• espèce Disteira kingii, serpent marin de la famille des Elapidae originaire des côtes de l'Australie et de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
• Dendrobium kingianum, une orchidée d'Australie orientale.
• Chlamydosaurus kingii^[3] : lézard à collerette

Œuvres

• 1818 : Narrative of a Survey of the Intertropical and Western Coasts of Australia, vol. 1 (texte intégral).
• 1822 : Narrative of a Survey of the Intertropical and Western Coasts of Australia, vol. 2 (texte intégral).

Notes et références

Bibliographie

• François Angelier, Dictionnaire des Voyageurs et Explorateurs occidentaux, Pygmalion, 2011, p. 401

Liens externes

• Ressources relatives aux beaux-arts :
  • Artists of the World Online
  • British Museum
  • Design & Art Australia Online
• Ressources relatives à la recherche :
  • Biodiversity Heritage Library
  • Harvard University Herbaria & Libraries
• Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :

  • Australian Dictionary of Biography
  • Britannica
  • Deutsche Biographie
  • Dictionary of Sydney
  • Oxford Dictionary of National Biography
• Notices d'autorité :

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