Pascal Bruckner

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Pascal Bruckner
Pascal Bruckner en 2017.
Biographie
Naissance
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Romancier, scénariste, essayiste, philosopheVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
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Comité de lecture des éditions Grasset (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Directeur de thèse
Roland BarthesVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Vladimir Jankélévitch, Roland Barthes, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Karl Jaspers, Raymond AronVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Œuvres principales

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Pascal Bruckner, né le dans le 15e arrondissement de Paris, est un philosophe, romancier et essayiste français.

Biographie

Famille

Issu d'une famille chrétienne[1],[Note 1], Pascal Bruckner passe son enfance entre l'Autriche, la Suisse et la France. Son père est protestant (non pratiquant), sa mère catholique (pratiquante) et lui-même a été baptisé catholique, comme il l'explique dans son livre autobiographique Un bon fils, publié en 2014[2].

Son père[3], René Bruckner, décédé en 2012, ingénieur de l'École des mines de Paris[4], antisémite convaincu, était très favorable aux thèses nazies[5] et haïssait les Juifs. Il devança le STO et œuvra pour les usines Siemens, à Berlin, puis à Vienne, entre 1942 et 1945[6].

Sa mère, Monique Bruckner, ancien professeur au collège Notre-Dame-de-Sion à Petrópolis (Brésil), est morte le [7].

Dans Un bon fils, il évoque l'extrême violence physique exercée par son père à l'encontre de sa mère et de lui-même[2].

Pascal Bruckner a été durant quelques années le compagnon de Caroline Thompson[8], fille de Danièle Thompson et petite-fille du réalisateur Gérard Oury. Il a un fils et une fille.

Études

Pascal Bruckner vit jusqu'à l'âge de 4 ans dans un sanatorium en Autriche[9]. Il fait ses études primaires et secondaires chez les jésuites à Lyon, puis à Paris, au lycée Henri-IV, ses classes d'hypokhâgne et khâgne de 1968 à 1970 — où il se lie d'amitié avec Alain Finkielkraut, avec lequel il écrira ensuite deux livres —. Il poursuit à l'université Paris-I et à l'université Paris-VII, et enfin à l’École pratique des hautes études.

Sa thèse de 3e cycle, consacrée à l'émancipation sexuelle dans la pensée du socialiste utopiste Charles Fourier (« Le corps de chacun est accessible à tous »), a été dirigée par Roland Barthes (et soutenue en 1975 à l'université Paris-VII)[10],[11].

Carrière

Depuis 1986, il enseigne dans des universités américaines, notamment celle de New York. À compter de 1990, il est maître de conférences à l’Institut d'études politiques de Paris mais ne fait pas partie du corps enseignant permanent[pas clair].

Outre ses activités d'écrivain, Pascal Bruckner est éditeur chez Grasset jusqu'en 2020, après quoi il entre au jury du prix Goncourt. Il collabore dans les années 1990 et 2000 au Nouvel Observateur et au Monde, depuis les années 2010 au Point et au Figaro.

Il intervient le mercredi dans la matinale de Radio Classique.

Engagements et prises de position

Par son nom et sa sympathie exprimée à l'égard de l'État d'Israël, Pascal Bruckner a souvent été erronément considéré comme de confession juive et comme un « intellectuel juif »[5]. Il qualifie d'« ironie de l'histoire assez cocasse » le fait d'être considéré comme juif[12].

Comme il l'explique dans Un bon fils, il est, en Mai 68 et dans les quelques années qui suivent, proche des mouvements gauchistes, plutôt libertaires, et sympathisant du Parti socialiste unifié. Plus tard, après s'être éloigné du gauchisme, il sera associé, à la marge, aux « nouveaux philosophes ».

En 1986, Guy Hocquenghem le critique dans sa Lettre ouverte à ceux qui sont passés du col Mao au Rotary. Selon le journaliste Jérôme Garcin, dans une formule journalistique en accroche d'un article de 2014, il a flirté avec le maoïsme — ce que Bruckner nie catégoriquement dans son livre autobiographique — puis avec le sarkozisme[13].

De 1983 à 1988, il est membre du conseil d'administration d'Action contre la faim.

De 1992 à 1999, il milite contre les différentes offensives serbes en ex-Yougoslavie[14], en Croatie d'abord, puis en Bosnie et au Kosovo. Il figure aux élections européennes de 1994 sur la liste L'Europe commence à Sarajevo. En 1999, il défend l'intervention militaire de l'OTAN contre les forces serbes.

Il est en 2003 signataire de l'appel de soutien à l'Initiative de Genève[15], plan de paix prévoyant la création d'un État palestinien aux côtés d'Israël.

En , favorable à la destitution de Saddam Hussein, il appuie la guerre d'Irak lancée par le gouvernement de George W. Bush dans un article paru dans Le Monde, cosigné par Romain Goupil et André Glucksmann[16],[17], qui participeront, trois ans plus tard, à la création de la revue d'orientation néo-conservatrice Le Meilleur des mondes. En , il critique dans Le Figaro l'impréparation de l'armée américaine ainsi que l'usage de la torture à la prison d'Abou Ghraib[18].

Dans son ouvrage de 2011, Le Fanatisme de l'apocalypse, Bruckner prend acte du réchauffement climatique, mais juge la réponse catastrophiste inadaptée et dangereuse.

Il soutient Nicolas Sarkozy pour le second tour de l'élection présidentielle de 2007. Il dira plus tard en avoir été déçu. Il se réclame du camp progressiste, « malgré l'épaisse bêtise et la bonne conscience qui y règnent »[5].

En , il signe le « Manifeste des 343 salauds » publié par la revue Causeur, qui défend les hommes faisant appel aux services de prostituées.

Invité de l'émission « C Politique » de France 5 le , Pascal Bruckner est interrogé sur l'écriture inclusive qu'il qualifie de « mélange de crétinisme et de totalitarisme ». Il associe alors les LGBT aux pédophiles lors d'une plaisanterie, ce qu'il qualifie plus tard de « mauvaise plaisanterie » lorsqu'interrogé à la suite du tollé causé par cette intervention, et finit par retirer ses propos initiaux[19].

En 2018, il présente sa candidature à l'Académie française[20]. Il affronte Benoît Duteurtre, mais aucun candidat n'est élu[21].

Dans Le Figaro du , il publie une tribune dans laquelle il critique la jeune activiste pro-climat Greta Thunberg, qu'il considère comme la représentante d'une « dangereuse propagande de l'infantilisme climatique »[22]. Cette tribune est qualifiée de « vilénie » par Claude Askolovitch, qui lui reproche de s'attaquer à l'âge, au physique et même à l'autisme de Greta Thunberg[23].

Pascal Bruckner est considéré comme un « climato-relativiste », au même titre que Luc Ferry ou encore Sylvie Brunel, par le site Reporterre, consacré principalement aux problématiques environnementales et sociales, dans une enquête datée de 2019[24].

Il suggère de fixer l’âge de la retraite à 70 ans : « En Belgique, la retraite sera fixée à 67,5 ans en 2020. C’est déjà le cas en Allemagne. La réforme Macron devrait donc aller plus loin encore. Si la France veut se distinguer en Europe, il faut fixer l’âge de la retraite à 70 ans[25]. »

Le , il est élu à l'Académie Goncourt[26].

Le , Pascal Bruckner accuse publiquement Rokhaya Diallo d'avoir « entraîné la mort des douze de Charlie Hebdo » et d'avoir ainsi « armé le bras des terroristes » en 2015 en signant en 2011 une pétition « pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à Charlie Hebdo »[27],[28].

Critique de la notion d'islamophobie et procès

Pascal Bruckner critique à plusieurs reprises le concept d'islamophobie, dont il affirme que :

« calqué sur celui de xénophobie, [il] a pour but de faire de l’islam un objet intouchable sous peine d’être accusé de racisme. Cette création, digne des propagandes totalitaires, entretient une confusion délibérée entre une religion, système de piété spécifique, et les fidèles de toutes origines qui y adhèrent[29],[30]. »

Il accuse aussi le mot d'avoir été « forgé par les intégristes iraniens à la fin des années 1970 pour contrer les féministes américaines », affirmation qualifiée de mensongère par les sociologues Marwan Mohammed et Abdellali Hajjat[31],[32],[33] et invalidée par l'Agence France Presse[34].

En 2015, les associations les Indivisibles et les Indigènes de la République portent plainte contre lui pour diffamation à la suite des propos qu'il a tenus au cours de l'émission 28 Minutes sur Arte ; il y avait accusé les associations d'avoir « justifié idéologiquement la mort des journalistes de Charlie Hebdo » et déclaré qu'il fallait « faire le dossier des collabos, des assassins de Charlie ». L'audience a lieu le , la défense étant assurée par Richard Malka ; lors du verdict, rendu le [35], les deux associations sont déboutées par la justice[36].

Publications

Essais

  • Fourier, Paris, Le Seuil, 1975, présentation de l'œuvre de Charles Fourier. (ISBN 2-02-004233-9)
  • Le Nouveau Désordre amoureux (en collaboration avec Alain Finkielkraut), Paris, Le Seuil, 1977 (ISBN 978-2-02-004582-7)
  • Au coin de la rue, l’aventure (en collaboration avec Alain Finkielkraut), Paris, Le Seuil, 1979 (ISBN 2-02-005166-4)
  • Le Sanglot de l'homme blanc : Tiers-Monde, culpabilité, haine de soi, Paris, Le Seuil, 1983 (ISBN 2-02-006491-X)
  • La Mélancolie démocratique, Paris, Le Seuil, 1990 (ISBN 2-02-010954-9)
  • La Tentation de l'innocence, Paris, Grasset, 1995 (ISBN 2-86432-110-6) Prix Médicis essai.
  • Le Vertige de Babel. Cosmopolitisme ou mondialisme, Arlea poche, 1999 (ISBN 2-86959-205-1)
  • L'Euphorie perpétuelle : essais sur le devoir de bonheur, Paris, Grasset, 2000 (ISBN 2-246-58221-0)
  • Misère de la prospérité : La religion marchande et ses ennemis, Paris, Grasset, 2002 (ISBN 2-246-53411-9)
  • La Tyrannie de la pénitence : Essai sur le masochisme Occidental, Paris, Grasset, 2006 (ISBN 978-2-246-64161-2)Prix Montaigne.
  • Le Paradoxe amoureux, Paris, Grasset, 2009 (ISBN 978-2-246-73631-8)
  • Le Mariage d’amour a-t-il échoué ?, Paris, Grasset, 2010 (ISBN 978-2-246-77661-1)
  • Le Fanatisme de l’apocalypse. Sauver la Terre, punir l’Homme[37],[38], Paris, Grasset, 2011 (ISBN 978-2-2467-3641-7)
  • La Sagesse de l'argent, Paris, Grasset, 2016 (ISBN 978-2-246-85755-6)
  • Un racisme imaginaire : la querelle de l’islamophobie, Paris, Grasset, 2017 (ISBN 978-2-246-85757-0)
  • Une brève éternité : philosophie de la longévité, Paris, Grasset, 2019 (ISBN 978-2-246-82185-4)
  • Zohra Bitan (dir.), #JeSuisMila #JeSuisCharlie #NousSommesLaRépublique : 50 personnalités s'expriment sur la laïcité et la liberté d'expression, Seramis, , 144 p. (ISBN 979-1-0964-8623-6, lire en ligne)
  • Un coupable presque parfait : la construction du bouc émissaire blanc, Paris, Grasset, 2020 (ISBN 978-2-246-82643-9)
  • Dans l'amitié d'une montagne : petit traité d'élévation, Paris, Grasset, 2022 (ISBN 978-2-246-83066-5)
  • Le sacre des pantoufles : Du renoncement au monde, Grasset, 2022 (ISBN 9782246832324)
  • Je souffre donc je suis. Portrait de la victime en héros, Grasset, 2024 (ISBN 2246838002)

Romans et récits

  • Allez jouer ailleurs, Paris, Le Sagittaire, 1976. (ISBN 2-7275-0041-6)
  • Lunes de fiel, Paris, Le Seuil, 1981. (ISBN 2-02-005856-1) Adapté au cinéma par Roman Polanski.
  • Parias, Paris, Le Seuil, 1985. (ISBN 2-02-008732-4)
  • Qui de nous deux inventa l'autre ?, Paris, Gallimard, 1988. (ISBN 2-07-071391-1)
  • Le Divin Enfant, Paris, Le Seuil, 1992. (ISBN 2-02-013215-X)
  • Les Voleurs de beauté, Paris, Grasset, 1997. (ISBN 978-2-344-01661-9) Prix Renaudot.
  • Les Ogres anonymes, Paris, Grasset, 1998. (ISBN 2-246-53421-6)
  • L'Amour du prochain, Paris, Grasset, 2005. (ISBN 2-246-64151-9)
  • Mon petit mari, Paris, Grasset, 2007. (ISBN 978-2-246-73141-2)
  • La Maison des anges, Paris, Grasset, 2013. (ISBN 978-2-246-80026-2)
  • Un bon fils, Paris, Grasset, 2014. (ISBN 978-2-246-80028-6)
  • Un an et un jour, Paris, Grasset, 2018. (ISBN 978-2-246-81871-7)

Livres jeunesse

  • Le Palais des claques, Paris, Le Seuil, 1986, coll. "Points-Virgule". (ISBN 2-02-009184-4)
  • Au secours, le Père Noël revient, illustré par Hervé Di Rosa, Paris, Le Seuil, 2003. (ISBN 2-02-059259-2)
  • La Boîte à bisous[39], illustration de Mayana Itoïz, Paris, Glénat, coll. P'tit Glénat / Vitamine, 2015. (ISBN 978-2-344-01007-5) (BNF 44416560)

Infographie

Notes et références

Notes

  1. Bruckner est un patronyme germanique signifiant « pontonnier » et porté originellement aussi bien par des protestants que par des juifs.

Références

  1. « Hors des pensées battues », Luc Le Vaillant, Libération.fr, 21 juillet 2000.
  2. a et b Pascal Bruckner, Un bon fils, Grasset, (ISBN 978-2-246-80029-3).
  3. L'histoire de son père nazi, Myboox.
  4. « Antisémite, raciste, révisionniste… Mon père ce vieux salaud », Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur, 14 avril 2014.
  5. a b et c Raphaël Leyris, « Pascal Bruckner : mon père ce nazi », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  6. Pacal Bruckner, mon père ce nazi, Raphaëlle Leyris, Le Monde, 17 avril 2014.
  7. Voir sur scholar.lib.vt.edu.
  8. Voir sur philomag.com.
  9. Voir sur lexpress.fr.
  10. Catalogue SUDOC.
  11. (OCLC 26347042)
  12. Philippe Plassart, « Pascal Bruckner : L’impératif de bien nommer les choses », sur Le Nouvel Economiste, .
  13. Voir sur bibliobs.nouvelobs.com.
  14. Pascal Bruckner, « Punir Milosevic », Le Monde, 8 avril 1994.
  15. « Il faut soutenir le Pacte de Genève »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ), Marianne, ..
  16. « Point de vue : la faute », Pascal Bruckner, André Glucksmann et Romain Goupil, 14 avril 2003.
  17. « Irak : silence des néoconservateurs français », Béligh Nabli, huffingtonpost.fr, 16 juin 2014.
  18. Pascal Bruckner, « L'intervention américaine en Irak : l'effroyable gâchis », Le Figaro, 11 mai 2004.
  19. « Pascal Bruckner associe LGBT et pédophilie, une « plaisanterie » douteuse », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Candidatures au fauteuil de M. Michel Déon (F8) », sur academie-francaise.fr (consulté le ).
  21. « Élection blanche au fauteuil de M. Michel Déon (F8) », sur academie-francaise.fr (consulté le ).
  22. « Pascal Bruckner : « Greta Thunberg ou la dangereuse propagande de l’infantilisme climatique» », sur www.lefigaro.fr, (consulté le ).
  23. « Claude Askolovitch : « Mais pourquoi Pascal Bruckner déteste-t-il Greta Thunberg ? » », sur www.slate.fr, (consulté le ).
  24. « Le climatoscepticisme n’est pas mort », sur reporterre.net, (consulté le ).
  25. « Pascal Bruckner: "Il faut fixer l’âge de la retraite à 70 ans" », sur Challenges, (consulté le ).
  26. « Les écrivains Camille Laurens et Pascal Bruckner nommés à l’académie Goncourt », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Pascal Bruckner accuse Rokhaya Diallo d'avoir « entraîné la mort des douze de Charlie Hebdo » », huffingtonpost.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Vos paroles ont entraîné la mort des 12 de Charlie Hebdo » : Pascal Bruckner accuse Rokhaya Diallo, ladepeche.fr, 22 octobre 2020.
  29. L'invention de l'islamophobie, Libération, 23 novembre 2010.
  30. « Pascal Bruckner : L’islamophobie, ça n’existe pas ! », Causeur, 29 octobre 2012.
  31. « Islamophobie : un abus de langage ? », Libération, 20 septembre 2013.
  32. Tiphaine Le Liboux, « Pourquoi Valls n’aime pas le mot "islamophobie" », rue89.nouvelobs.com, 4 août 2013.
  33. Pascal Bruckner, « L’invention de l’« islamophobie » », sur Libération (consulté le ).
  34. « Non, le terme « islamophobie » n'a pas été « créé par l'ayatollah Khomeini » », sur Factuel, (consulté le ).
  35. Saïd Mahrane, « Le curieux procès Bruckner », lepoint.fr, (consulté le ).
  36. « Procès Bruckner : une défaite pour les collabos de l'islamisme », entretien avec Laurent Bouvet, lefigaro.fr, 19 janvier 2017.
  37. Présentation sur le site de l'éditeur.
  38. « "Le Fanatisme de l'Apocalypse : sauver la Terre, punir l'homme", de Pascal Bruckner : la rhétorique de la dérision en défaut » sur lemonde.fr.
  39. Laetitia Hélary, « Manuel pour jeune papa », Ouest-France,‎ (lire en ligne).

Liens externes

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