Ligne de Miramas à l'Estaque

Ligne de
Miramas à l'Estaque
Voir la carte de la ligne.
Carte de la ligne
Voir l'illustration.
Un TER AGC Marseille > Miramas sur le viaduc de La Vesse
Pays Drapeau de la France France
Villes desservies Miramas, Istres, Port-de-Bouc, Martigues, Carry-le-Rouet, L'Estaque
Historique
Mise en service 1879 – 1915
Électrification 1983 (électrification partielle)
Concessionnaires Messieurs Digeon et Dellamarre (1875 – 1891)
Miramas à Port-de-Bouc (1891 – 1904)
PLM (1904 – 1937)
SNCF (1938 – 1997)
RFF (1997 – 2014)
SNCF (depuis 2015)
Caractéristiques techniques
Numéro officiel 935 000
Longueur 61 km
Écartement standard (1,435 m)
Électrification 1500 V continu
entre Miramas et Lavalduc
Nombre de voies Double voie
Signalisation BAL de Miramas à Martigues
BAPR à compteur d'essieux au-delà
Trafic
Propriétaire SNCF
Exploitant(s) SNCF, Euro Cargo Rail (ECR)
Trafic TER, Fret
Schéma de la ligne
Légende
LSTR
Ligne de Paris-Lyon à Marseille-St-Charles vers Paris-Lyon
KRW+l
SPLa
STRg vDST-STR
Triage de Miramas
ABZgl
vABZg+r-STR
STRc3
STR
vABZgl-STRo
ABZq+r
SHI4g+rq LSTRq
Ligne d'Avignon à Miramas vers Avignon-C.
SHI3l
vSHI2g+l-STR+l
KRZu SHI4lq
exvSTR+2-~G
exvSTR+4-~F
INT
Dépôt de Miramas
exvSTR-KBHFe vBHF STR
68,536
809,278
Miramas (49m)
exvSTR- vSTR-SHI3g+l SHI3r
exvSTR-
vSHI2g+l-
SHI3+r
exvSTR-
vSTR-
KRZo STRq LSTRq
810,427 Ligne de Paris-Lyon à Marseille-St-Charles vers Marseille-St-Ch.
exvSTR- vSTR- STR lSHST
810,5xx Sous-station 1,5 kV - cc de Miramas
exvSTR- vSTRl- ABZg+r
811,875 Bif vers racc. de Miramas-Sud
exvSTRl- exSTRq eABZg+r
ancien tracé
WASSERq WBRÜCKE1 WASSERq
813,037 Pont sur le canal de Craponne
eHST
815,6xx Le Paty (35m)
BHF
820,761 Istres (25m)
BHF
822,931 Rassuen (19m)
STR+l STRq ABZgr
825,163 Bif de Lavalduc-Nord
STR lSHST STR
825,500 Sous-station 1,5 kV - cc de Lavalduc
ABZg+l STRq ABZg+r
826,035 Bif de Lavalduc-Sud vers racc. Sud de Lavalduc
LSTR STR
Ligne de Lavalduc à Fos-Coussoul (dépôts pétroliers) vers Fos-C.
SEC1
Limite d'électrification
eHST
829,3xx Plan d'Aren (2m)
eABZg2 exSTRc3
Ancien tracé[1]
TUNNEL1
exSTR3+4
829,815 Tunnel d'Engrenier (319m)
eABZg+1 exSTRc4
HST
831,630 Fos-sur-Mer (5m)
WASSERq hKRZWae WASSERq
833,066 Pont de la Baumasse (canal d'Arles à Port-de-Bouc) (130m)
SPLa
vDST-BHF
834,402 Port-de-Bouc (12m)
WASSERq vWBRÜCKE1 WASSERq
834,605 Pont sur le Canal d'Arles à Port-de-Bouc (32m)
exKBHFaq veABZgr-STR
Port-de-Bouc (ancien emplacement)
vÜST
834,626
0,000
Bif
STR+l
STRq vSTRr-SHI1r
(1) Ligne de Port-de-Bouc à Caronte-la-Gafette
exSTR
nKBSTeq STR
I.T.E. usine chimique
exKDSTe STR
3,478 Caronte-la-Gafette (2m)
BHF
837,332 Croix-Sainte (20m)
CSTRa@g
hSTRa@g
838,017 Viaduc de Caronte (942m)
WASSERq DBK WASSERq
838,210 Viaduc de Caronte (partie tournante) (115m)
hSTRe@f
838,959
nKBSTa DSTR
Port de Lavéra
nABZl+l nKBSTeq DSTRe@f
nSTR
KRW+l
KRWr
(2) Voie mère de Martigues à Lavéra
nSTR DST-L
vBHF-KBHFa-R
839,300 Martigues (28m)
nSTR
exnSTR
vSHI3g+r-STR
nSTR
exnSTRr
SPLe
(3) Ancien I.T.E.
nSTRl nABZql ABZgnr
840,739 Bif vers port pétrolier de Lavéra
eHST
842,487 Ponteau-Sant-Pierre
exnKBSTaq eABZgnr
Ancien I.T.E. centrale thermique de Ponteau
hSTRae
842,600 Viaduc de Lareraille (200 m)
TUNNEL1
843,885 Tunnel de Cavelas (353 m)
hSTRae
845,866 Viaduc de Lareraille (115 m)
BHF
846,132 La Couronne-Carro (34m)
TUNNEL2
848,628 Tunnel du Col-des-Rouges (75 m)
hSTRae
849,666 Viaduc du Grand-Vallat (300 m)
TUNNEL1
850,161 Tunnel de Sausset (369 m)
BHF
851,170 Sausset-les-Pins (23m)
BHF
854,752 Carry-le-Rouet (26m)
TUNNEL1
855,413 Tunnel de Carry (451 m)
TUNNEL1
856,470 Tunnel du Rouet (194 m)
hSTRae
856,756 Viaduc de l'Aigle (228 m)
TUNNEL2
857,113 Tunnel de Matheron (90 m)
hSTRae
857,583 Viaduc des Eaux-salées (246 m)
TUNNEL2
857,712 Pointe-des-Fèves n°1 (61 m)
TUNNEL2
857,952 Pointe-des-Fèves n°2 (50 m)
BHF
858,708 La Redonne-Ensuès (36m)
hSTRae
858,873 Viaduc de Mauvallon (288 m)
TUNNEL2
859,146 Tunnel d'Anthénor n°1 (75 m)
TUNNEL2
859,625 Tunnel d'Anthénor n°2 (59 m)
TUNNEL2
860,030 Tunnel des Figuières (50 m)
hSTRae
860,416 Viaduc de Méjean (246 m)
TUNNEL1
860,848 Tunnel de Méjean (491 m)
hSTRae
862,019 Viaduc de Beaume de Lume (128 m)
TUNNEL1
862,070 Tunnel du Moulon (936 m)
hSTRae
863,069 Pont des Frères (128 m)
hSTRae
863,425 Viaduc du Jonquier (274 m)
BHF
863,894 Niolon (35m)
TUNNEL1
864,024 Tunnel de Niolon (153 m)
hSTRae
864,263 Viaduc de la Vesse (406 m)
TUNNEL1
864,380 Tunnel de la Vesse (208 m)
TUNNEL1
864,735 Tunnel de Pierres Tombées (501 m)
TUNNEL1
865,362 Tunnel des Aragnols (145 m)
hSTRae
865,552 Viaduc des Aragnols (224 m)
hSTRae
866,066 Viaduc de l'Establon (186 m)
eHST
866,300 Le Rove (39m)
hSTRae
866,492 Viaduc des Loubatons (264 m)
hSTRae
867,151 Viaduc de la Corbière (227 m)
TUNNEL1
867,522 Tunnel du Rio Tinto (631 m)
TUNNEL1
868,330 Tunnel des Riaux (323 m)
hSTRae
868,787 Viaduc des Riaux (338 m)
vSHI1+l-STR+l LSTRq
Ligne de Paris-Lyon à Marseille-St-Charles vers Paris-Lyon
vÜSTo+l
Bif. de l'Estaque
vBHF
870,080
851,699
L'Estaque (54m)
vÜSTol
LSTRq vSTRr-SHI1r
Ligne de L'Estaque à Marseille-Joliette vers La Joliette
LSTR
Ligne de Paris-Lyon à Marseille-St-Charles vers Marseille-St-Ch.
modifier Consultez la documentation du modèle

La ligne de Miramas à l'Estaque, surnommée ligne de la Côte Bleue[2], est une ligne ferroviaire française à voie normale du département des Bouches-du-Rhône qui constitue un itinéraire alternatif à la section de Miramas à l'Estaque de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles en passant par Port-de-Bouc et en longeant la Côte Bleue.

Elle constitue la ligne 935 000[3] du réseau ferré national.

Histoire

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().

Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires.

Dès le milieu du XIXe siècle, il existe une ligne principale d'Avignon à Marseille qui traverse le massif de l'Estaque entre l'étang de Berre et l'Estaque, au nord de Marseille, par le tunnel de la Nerthe. Achevée le , elle a été construite sur les plans de l'architecte Paulin Talabot.

À la fin de la guerre franco-prussienne de 1870, la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) envisage de doubler partiellement la ligne entre Miramas et Marseille afin de disposer d'un itinéraire de délestage en cas de problème dans le tunnel de la Nerthe. Le tracé retenu, dit « par Port-de-Bouc », contourne l'étang de Berre par l'ouest, traverse la passe de Caronte près de Martigues, puis longe la Côte Bleue jusqu'à l'Estaque. C'est un des trois tracés qui avaient été antérieurement proposés pour la construction de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, malgré la difficulté du parcours.

Une convention signée le entre le conseil général des Bouches-du-Rhône et Messieurs Digeon et Dellamarre concède une ligne de Miramas à Port-de-Bouc. La concession est approuvée par un décret le qui déclare la ligne d'utilité publique à titre d'intérêt local[4]. Dans le cahier des charges il est précisé que la ligne débute dans la station de Miramas, en embranchement de la ligne de Lyon à Marseille, puis elle doit passer à Istres, proche de Fos et se terminer à Port-de-Bouc[5].

La compagnie met la ligne en service en 1882.

Un décret du , autorise la substitution de la Société des Chemins de Fer de Miramas à Port de Bouc (MPB) aux concessionnaires initiaux[6] dont la compagnie avait fait faillite en 1887[réf. nécessaire].

La ligne de Miramas à l'Estaque est concédée à titre éventuel à la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) par une convention signée entre le ministre des Travaux publics et la compagnie le . Cette convention est approuvée par une loi le suivant[7]. Le , la loi déclarant la construction de la ligne d'utilité publique est promulguée[8]. Cette loi prévoit le rachat par l'État et l'intégration au réseau de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée de la ligne de Miramas à Port-de-Bouc, avec adaptation de celle-ci pour être intégrée dans la nouvelle ligne. L'enquête et les expropriations peuvent commencer. En 1908, la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée double la voie entre Miramas et Port-de-Bouc et commence la construction entre Port-de-Bouc et l'Estaque.

Les plans de la ligne sont établis à Lyon par les services techniques du PLM, dirigés par l'ingénieur en chef Canat. Ils sont approuvés par le directeur du PLM, Gustave Noblemaire, en 1904. Paul Séjourné, nouvel ingénieur au PLM, supervise la construction. La difficulté des travaux consistait au fait qu'il n'y a pas de plaine littorale ; la ligne est donc accrochée au flanc de la chaîne de l'Estaque.

La ligne de Miramas à Port-de-Bouc est doublée en totalité le et la portion Port-de-Bouc - L'Estaque ouverte le .

La ligne est électrifiée entre Miramas et Lavalduc, au sud d'Istres, où un embranchement est construit pour donner accès au complexe pétrochimique et au port de Fos-sur-Mer. Le projet d'électrification en 1500 volts en courant continu prévoyait une électrification totale de cette ligne, cependant, le nombre de tunnels à mettre au gabarit étant rédhibitoire, l'électrification du tronçon entre Lavalduc et l'Estaque est abandonnée, aussi pour des raisons de coûts (il fallait impérativement électrifier en 1500 volts en courant continu, le 25Kv alternatif, moins coûteux, aurait compliqué l'exploitation, contrairement à la Côte d'Azur). Avec la généralisation des BGC 81000, ces véhicules bi-mode pourront changer de mode en marche, au niveau de la bifurcation de Lavalduc, lorsque cette opération sera autorisée dans tous les dépôts gérant ces AGC, dont Marseille.

Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit être actualisée.
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.


De mars à , la ligne est interrompue pour travaux de modernisation. Cependant, cette modernisation ne prévoit pas de travaux de gabarit électrification dans les tunnels ou d'électrification. La ligne reste exclusivement exploitée en véhicules bi-modes (Régiolis, BGC B 81500 et futures locomotives Euro Dual pour le fret).

Les travaux de modernisation sont programmés du 18 mai 2020 au 28 mai 2021, avec une fermeture totale de la ligne du 31 août 2020 au 25 avril 2021[9]. Les travaux permettent le renouvellement de la voie, entre la gare de Carry-le-Rouet et la gare de l'Estaque, la sécurisation du Tunnel de Rio Tinto, la refection du remblai des Eaux-Salées et la sécurisation des versants des tunnels de Méjean, Erevine et Baume de Lume à Ensuès-la-Redonne, de Pierres Tombées et Aragnols (Le Rove) La ligne rouvre au public le lundi 26 avril 2021.

Infrastructure

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Ouvrages d'art

Sur ses 61 kilomètres, la ligne comprend 18 viaducs ou ponts et 23 tunnels dont :

  • Le pont de Caronte.
    Le pont de Caronte.
  • Le viaduc des Eaux-Salées.
    Le viaduc des Eaux-Salées.
  • Le viaduc de Corbière.
    Le viaduc de Corbière.
  • Le viaduc de la Vesse au Rove.
    Le viaduc de la Vesse au Rove.
  • Le viaduc du Jonquier près de Niolon.
    Le viaduc du Jonquier près de Niolon.

Exploitation

Desserte voyageurs

Deux TER se croisent à l'entrée de la gare de la Redonne

Les TER Provence-Alpes-Côte d'Azur assurent une bonne desserte des gares de la ligne : 14 circulations quotidiennes dans chaque sens en semaine, dix les samedis, dimanches et fêtes, selon un horaire cadencé sur base horaire, en correspondance à Miramas avec les TER de ou vers Salon-de-Provence, Arles, Montpellier, Avignon et Lyon.

L'unique train direct, de nuit, de Paris à Marseille via Salon et Port-de-Bouc, surnommé ironiquement « le Fosséen » par analogie au célèbre Phocéen, a été supprimé dans les années 1990.

L'été, la Région propose des forfaits touristiques de libre circulation sur la ligne ou incluant une sortie en mer[10].

Autres

Unique accès ferroviaire pour la zone industrielle et portuaire de Fos-sur-Mer (Grand port maritime de Marseille), la ligne est électrifiée de Miramas jusqu'à l'embranchement de la desserte à Rassuen. Plus au sud, plusieurs embranchements industriels existent à Fos et à Martigues-Lavéra (port et complexe pétrochimique).

La ligne est utilisée par les convois de détritus urbains de Marseille à destination de l'incinérateur de Fos-sur-Mer.

Enfin la ligne sert occasionnellement pour les détournements de trains en cas d'interruption sur la ligne de Marseille à Miramas via Rognac. Ce fut notamment le cas le .

Galerie : Côte bleue, 27 mars 2010

Photos de la ligne

  • TER avec BB 67400 en direction de Port-de-Bouc.
    TER avec BB 67400 en direction de Port-de-Bouc.
  • Un TER Marseille > Miramas sur le viaduc de La Vesse
    Un TER Marseille > Miramas sur le viaduc de La Vesse
  • Un TER Marseille > Miramas en gare de Niolon
    Un TER Marseille > Miramas en gare de Niolon
  • La gare de Sausset-les-Pins, style typique de la ligne
    La gare de Sausset-les-Pins, style typique de la ligne
  • Un TER Marseille > Miramas vers La Couronne
    Un TER Marseille > Miramas vers La Couronne

Notes et références

  1. « Trains d'Europe - Au delà du Gard : ligne de la Côte Bleue - Photothèque : tunnel et tranchée d'Engrenier (13) », sur trains-europe.fr (consulté le ).
  2. Le train de la Côte bleue, sur le site de la région PACA
  3. Livre : Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français, La Vie du Rail, août 2011, (ISBN 978-2-918758-44-0), volume 2, page 200.
  4. « N° 4300 - Décret qui déclare d'utilité publique l'établissement d'un chemin de fer d'intérêt local de Miramas à Port-de-Bouc : 12 avril 1875 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 11, no 262,‎ , p. 97 - 113 (lire en ligne).
  5. Annales des Ponts et Chaussées lire (consulté le 21 juillet 2011).
  6. « N° 23785 - Décret qui approuve la substitution, aux concessionnaires primitifs, de la société du chemin de fer de Miramas à Port-de-Bouc, comme concessionnaire de la ligne d'intérêt local de ce nom : 5 juin 1891 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 42, no 1409,‎ , p. 837 - 838 (lire en ligne).
  7. « N° 14213 - Loi qui approuve les conventions passées, les 26 mai et 9 juin 1883, entre le ministre des Travaux publics, et la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée : 20 novembre 1883 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 28, no 834,‎ , p. 325 - 333 (lire en ligne).
  8. « N° 45448 - Loi déclarant d'utilité publique, à titre d'intérêt général, l'établissement d'un chemin de fer de Miramas à l'Estaque : 29 juin 1904 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 70, no 2598,‎ , p. 689 - 692 (lire en ligne).
  9. SNCF Réseau, « Modernisation de la Ligne de la Côte Bleue »
  10. Depliant_CoteBleue-2017, à télécharger {pdf}

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • La ligne de Miramas à l'Estaque, sur Wikimedia Commons

Bibliographie

  • Edmond Baudoin, Le petit train de la Côte bleue, carnet de route dessiné, Six Pieds Sous Terre, 2007 (ISBN 2-35212-019-5).
  • Bernard Collardey, « La ligne de la Côte bleue à 100 ans : Mise en service en octobre 1915, cette ligne, l'une des plus spectaculaires du réseau SNCF, a donc célébré son centenaire à la fin de l'an dernier. Évoluant, entre autres, dans le magnifique paysage des calanques entre Miramas et l'Estaque, elle a pour caractéristique d'accueillir, outre des TER et quelques trains grandes lignes, un important trafic de fret en rapport avec le complexe industriel de Fos-sur-Mer », Rail Passion, no 220,‎ , p. 42-59 (ISSN 2264-5411).
  • Louis Roubaud, Le Chemin de Fer : de la côte bleue vers les plaines de la Crau, Campanile, 2004 (ISBN 2-912366-32-1).
  • Max Thérol, Un gaspillage de 20 millions : la ligne de Miramas à l'Estaque par le littoral : projet soumis aux Chambres par la Compagnie P. L. M., aux bureaux de la France maritime, 1901, 34 p. (consultable : Médiathèque intercommunale Ouest Provence, cote FL 6.2 THE)

Iconographie

  • Nouvelle Ligne, Chemin de Fer P.-L.-M. de l'Estaque à Miramas. Le Viaduc de Caronte. 943 M. de long, hauteur 24 m. 50, carte postale no 41, LL, avant 1917 (1 exemplaire a voyagé en 1917).

Articles connexes

Liens externes

  • Historique de la ligne sur un site amateur
  • Zoom sur la Côte Bleue : voyage à bord de ce train au-dessus des Calanques (Le journal télévisé de TF1 de 13 heures du 24 janvier 2016)
  • icône décorative Portail du chemin de fer
  • icône décorative Portail des Bouches-du-Rhône