Daniël Roguin
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Naissance | ![]() Yverdon-les-Bains ![]() |
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Décès | ![]() Yverdon-les-Bains ![]() |
Activité | Banquier ![]() |
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Daniël Roguin, né à Yverdon, et mort dans la même ville le ; était un officier de l'armée suisse dans le service des Provinces-Unies et un banquier.
Biographie
Il était le fils de Gabriel Augustin Roguin (né 1664 ; mort 1719) et sa femme Julie Anne Fatio (né 1670 ; mort 1736). Les parents étaient mariés depuis le [1].
Daniël Roguin a servi dans l'armée néerlandaise en Suriname, et s'est rendu à Paris[2] autour de l'an 1742. Il y fit une carrière de banquier puis revint s’établir dans sa ville natale, Yverdon en 1761. À Paris, il a rencontré Denis Diderot et Jean-Jacques Rousseau. Il était un ami fidèle et Rousseau l'a pris dans sa famille à Yverdon, où il a été condamné par la Parlement de Paris[3].
La nièce de Daniël était Mme Madeleine-Catherine Delessert (1767-1838)[4]. Jean-Jacques Rousseau a rédigé, de 1771 à 1774, un ouvrage épistolaire les « Lettres élémentaires sur la botanique » pour la nièce de Daniël Roguin.
Source
- Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions Genève 1782
- Frédéric Eigeldinger, Roguin, Daniël in Raymond Trousson, FrédéricEigeldinger (dir.), Dictionnaire de Jean-Jacques Rousseau, Paris : H. Champion, 1996, p. 824-826.
Liens externes
- Portrait de Daniël Roguin
Notes et références
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